La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1540)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1539) -
Chapitre 13 : Une mise au point nécessaire ! -
- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !
Un peu plus tard, dans cette voiture me ramenant au Château, jétais totalement exténué, anéanti, en ruine. Monsieur le Marquis ainsi que Monsieur Jean avaient usé et abusé de mon corps servile, de mon mental, servile aussi, en alternance ou ensemble, tout au long de la matinée et de ce début daprès-midi. Je navais pas eu un moment de répit
Sans relâche, sans se préoccuper de mes atermoiements, sans interruption, ils sétaient divertis faisant de moi une loque humaine, une épave, une chose, un simple objet sexuel, je nétais plus que deux trous à combler, bouche et anus à remplir, à se vider les couilles sans modération, à jouir de et dans mes orifices desclave, à se soulager la vessie aussi ayant servi également durinoir
Bref jétais en lambeau et avais le cerveau en vrac !... Heureusement, il y avait eu ce temps, juste avant notre départ, où le Maître mavait accordé un peu de douceur. Dans une baignoire remplie deau chaude et pleine de mousse, tous deux dedans, il mavait longuement lavé, comme on laverait son chien, puis mavait autorisé à mappuyer contre Lui pour me détendre un peu. Il mavait caressé longtemps. Il mavait ensuite ordonné de métendre sur un lit
Là, sur le matelas, il mavait massé tendrement, le dos, les cuisses, les fesses, lanus avec un crème apaisante. A cet instant, je me souvenais encore de mes soupirs, je me remémorais de ces moments de sensualité intenses, de ces papillons dans mon estomac
Une fois encore, dune autre manière je métais abandonné à son pouvoir, à sa séduction naturelle, à ses mains passant et caressant mon corps nu ! Jétais devenu Son esclave et je me sentais totalement être à Lui. Je me sentais être sous Ses caresses baladeuses et lentes être aussi Son amant, enfin javais cette sensation et cela me faisait battre le cur de bonheur.
Le ciel était gris, il pleuvait, lorage grondait. Avec lucidité cette fois-ci, je minquiétais réellement. « Pourvu quil ne grêle pas » pensais-je ! Combien de fois ces orages dété avaient anéanti le travail viticole dune année. La vendange sannonçait belle, en un rien de temps, elle pouvait être réduite à néant. Monsieur le Marquis, Lui aussi semblait soucieux, car maintenant, de petits grêlons claquaient contre le parebrise du véhicule. « Eh zut ! » lançait-il à haute voix
Sous des trompes deau, une fois le portail du Château passé, le Maître mordonnait de me dévêtir totalement et rapidement dans Sa voiture. Je nétais pas mécontent de me débarrasser de ces haillons.
- Tu tes assez donné ces dernières 24 heures, je vais te laisser regagner tes pénates
, me disait-il
Walter, sous un immense parapluie, attendait sur le perron, Monsieur le Marquis garait Son véhicule près des marches. Le Majordome se précipitait pour Lui ouvrir la portière sous une pluie battante.
- Tu descends, tu attends ici, Walter va venir ôter ton collier !, mordonnait le Noble.
Ultime épreuve pour ces dernières 24 heures passées sous lautorité constante du Maitre. Sous cette pluie battante, nu, frigorifié, je restais figé sur la première marche de lentrée principale du Château. Dieu merci, lattente ne fut pas très longue, Walter revenait, déverrouillait le cadenas de cette chaine passée à mon cou et mautorisait à partir. Je me précipitais dans ma voiture, trempé jusquaux os, mépongeais le visage avec mon tee-shirt, passais mon short et partais en direction de la Bastide, avec deux seules idées en tête, la première prendre une bonne douche chaude et salvatrice, la seconde me coucher !
Avec cette pluie diluvienne, jétais sûr de ne pas rencontrer grand monde sur la route, il valait mieux.
- Tu es rentré salope ?, maffirma-til
- Oui Maitre, à linstant Maitre, merci Maitre.
- Je ne sais pas si tu es bien conscient des engagements que tu as pris hier, devant témoins. Jusquici tu nétais quun simple chien, un simple soumis, un simple bâtard en quête dun collier et dune laisse. Aujourdhui, par ta seule volonté, avec Mon aide et Mon autorité tu es et vas devenir un réel esclave, Mon esclave, comme létaient tes parents des années durant et ce jusquà que ta mère tombe enceinte de toi
Jétais stupéfait et mon cur se mit à battre apprenant le statut exact de mes parents
- Merci Maître
, osais-je répondre sans vraiment comprendre ces propos, sans vraiment encore avoir eu le temps de digérer linformation relative à mon nouveau statut et aussi à celle relative à mes parents
- Jusquici tu étais privé de liberté sexuelle, maintenant et dès à présent, tu es privé de liberté daction, dexpression sans Mon accord préalable, y compris lorsque tu nes pas près de Moi. Tu dois te contenter dobéir et de te soumettre simplement à Mes injonctions quelles quelles soient. Point dinitiative, point de décision, y compris dans ton quotidien pour que je puisse mieux te façonner, te recréer au-delà de ce que tu peux imaginer. En attendant, tu dois dès à présent obtenir Mon accord préalable pour agir, faire, entreprendre, sortir, etc
Pour ne pas te prendre en défaut, sache que Walter, en compagnie dun de Mes informaticiens, a installé hier un mouchard sur ton téléphone portable laissé dans ta voiture.
Jétais de nouveau stupéfait, masseyais pour écouter la suite.
- En outre, il faut bien que tu comprennes que je vais exploiter létendue de tes capacités sexuelles, parce que je suis là pour ça
Ta lubricité va thonorer, tu vas devenir ce trou béant avide de bites qui ne demande quà se faire prendre et remplir, tu souhaiteras avoir devant toi des queues à sucer, des chattes et des culs à lécher, sous Mes ordres pour mieux te faire enculer comme une putain de chienne que tu es. Ta perversion, ta descente aux enfers, enfin je préfère dire ta descente à la luxure extrême, jusquaux confins des plaisirs défendus, ta volonté de Me donner du plaisir sous quelle que forme que ce soit, ton devoir daccueillir Mes fluides là où bon Me semblera, voilà ce que jattends de toi. Comprends-tu Mes propos salope ?
- Oui Maître !, répondais-je hébété.
- Enfin, avant demain matin 10 heures, tu madresseras deux pages dun récit, récit que tu vas commencer à construire, portant sur nos rencontres, dans lequel tu me feras part de tes ressentis, de tes doutes, de tes difficultés de tes facilités, de tes impressions. Tu as libre court
sois honnête, franc, sincère. Daucune manière je ne ten tiendrai rigueur. Sur ce, bonne nuit mon petit esclavalex !
Monsieur le Marquis raccrochait immédiatement, sans que je puisse Lui adresser mes respectueuses salutations. Je restais de longues minutes sur cette chaise abasourdi, ahuri, sidéré. Létau se refermait sur moi, effectivement je navais pas réellement mesuré les conséquences de cet engagement, même si le Noble me les avait largement expliqué (NDLA : lire chapitre précédent). Abasourdi, sidéré, aussi concernant mes parents. Je comprenais mieux le grand chagrin du Maître suite à leur décès.
- Bonsoir Charles.
- Bonsoir Monsieur Alexandre, je ne vous dérange pas trop ?
- Je vous écoute Charles
- Dites-moi Monsieur Alexandre, est-elle blonde ou brune ?
Je levais les yeux au ciel parce quun peu exaspéré
Les allusions à deux balles de Charles, commençaient à magacer.
- Cest pour ça que vous mappeler Charles ?, lui répondais-je sèchement.
- Oh non Monsieur Alexandre, veuillez mexcuser, vous me connaissez, jaime plaisanter
- Oui je sais Charles ! Lui disais-je toujours froidement.
- Je vous appelais pour tout autre chose Monsieur Alexandre
Je vous appelais pour savoir si ce mois-ci vous aviez lintention de me payer
- Quelle question Charles, évidemment que je vous paierai en fin de mois, comme dhabitude.
- Cest que le mois dernier, vous ne lavez pas fait Monsieur Charles
on est le 10 du mois et je nai toujours pas eu mon chèque.
« Oh zut, de zut !, cette soumission, te fait perdre la tête mon pauvre Alex » pensais-je
- Oh Charles, excusez-moi, je suis vraiment désolé, cest un stupide oubli, cest tout ! Je vous apporte votre chèque sitôt ma douche prise.
- Mais non Monsieur Alexandre, il pleut encore trop ce soir, vous me le donnerez demain.
- Daccord, entendu, et mille excuses encore, Charles
- Pas de souci Monsieur Alexandre, je sais ce que cest
avec le grand amour, on en oublie le boire et le manger
- Bonne soirée Charles, promis demain à la première heure, je vous descends votre chèque et votre bulletin de salaire.
- Vous avez regardé les actualités régionales Monsieur Alexandre.
Je rageais
Charles avait envie de parler, moi de me coucher
- Non Charles !
- Ils ont dégusté du coté de Brouilly, 50 % de perte il parait, suite à cette grêle
on a eu chaud aux fesses, nous ici on na rien eu
« Moi aussi, hier, jai eu chaud aux fesses, mais pas pour les mêmes raisons » pensais-je en souriant
- Croisons les doigts Charles, Ils annoncent des orages encore pour demain.
- Je ne vous embête pas plus Monsieur Alexandre, allez bonne nuit à demain.
- Bonne soirée Charles, embrassez Louise de ma part.
- Plutôt deux fois quune Monsieur Alexandre
Charles sesclaffait et raccrochait. Enfin, jétais sous la douche
(A suivre
)
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